Calixte, Vincent, Michel, et les autres...

Calixte Tayoro continue le making-of de son futur documentaire sur les médias et la crise ivoirienne. Il vient d'actualiser son blog où il rapporte ses rencontres avec Vincent Peillon, l'ancien porte-parole de Licorne devenu consultant en communication de crise (et qui a un blog). Il raconte aussi ses échanges avec Christian Harbulot, directeur de l'Ecole de guerre économique, qui tente d'expliquer pourquoi Gbagbo a, selon lui, battu Chirac sur le terrain de "la guerre de l'information". Perfide, il nous met l'eau à la bouche au sujet de ses conversations avec une "concierge" du village franco-africain, Jean-François Probst alias Le Prince Pokou. Calixte nous propose un lien intéressant : celui qui nous amène sur les articles de type universitaire du politologue français Michel Galy, qui a participé de manière décisive au débat sur les ambiguités de Paris au sujet de la crise ivoirienne. Bref, allons chez Calixte, le "stratégiste" du village...

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Comments

[oscar]

Je retiens que sur la crise ivoirienne,les médias français,conformément aux instructions de leurs autorités étatiques,n'ont pas daigné informer objectivement et se sont surtout livrés à la diabolisation du camp Gbagbo.
La victoire de Gbagbo sur Chirac que décèlent les experts en communication n'est en réalité que celle de la vérité sur le mensonge,du bien sur le mal.
Je salue l'effort de révision et de restitution de la vérité fait par l'ex-porte parole de la licorne et les autres mais je reste perplexe quant à leurs capacités de désintoxiquer tous ceux qui ont été désinformés par les agents de supermenteur.Le mal est déjà fait!...

[St-Ralph]

Merci pour ce lien. Calixte Tayoro fait là un travail très intéressant. J'apprécie qu'il donne la parole aux acteurs français de la crise. Je n'hésite pas à faire lire ses multiples conversations à mes collègues français pour les introduire au coeur de la vérité. Que Calixte T. sache que le travail qu'il accomplit est très précieux et pourra l'être certainement davantage plus tard.